dimanche 26 mai 2013

[livre] Atlas des guerres au XVIIème siècle

 
Une petite semaine de vacances, une semaine pour m'en remettre ^^ et je reviens. Donc bon toujours pas de peinture même si je vois le bout du tunnel pour les travaux donc l'été devrait être propice à la peinture -même si je pensais finir en mars...- mais bon on fait toujours pas toujours comme on veut. Donc du coup je continue ma série des Atlas des guerres des éditions Autrement.

  Cette fois-ci on tombe au XVIIIème siècle. Alors la première partie est sympa car elles traite des pays non-européens donc on apprend plein de chose. Et après on revient aux européens et Jeremy Black n'est pas anglais pour rien -il a quand même écrit plus de cent livres sur l'empire britannique au XVIIIème et professeur d'histoire à l'université d'Exeter- mais voilà quand on est anglais bah on est légèrement chauvin... mais que légèrement... Donc on se lance des fleurs, on dit que les autres sont nuls et que quand les anglais perdent bah c'est que les autres ont juste eu de la chance... Donc ça m'a légèrement agacé. Mais la fin est un peu moins pro-britannique donc on arrive à le finir. Donc début et fin très bien, milieu imbuvable par sa tournure. Car oui pour lui les français voulaient éradiquer les autres peuples mais les gentils anglais voulaient les assimiler... c'est la première fois que j'entends ça et je savaient pas trop comment le prendre, peut-être une erreur de traduction. Surement... enfin j'espère car les génocides anglais sont nombreux en cette période et pour être allié anglais ils fallaient être soit très fort soit avoir de bonnes ressources. Bref j'ai fini avec ma critique anti-pro-british et je vais aller lire la suite de la série soit: l'atlas des guerres des empires.

2 commentaires:

Sébastien Louchart a dit…

C'est une assez bonne série de bouquins, en effet mais les prises de position des auteurs semblent assez iconoclastes. J'ai l'Atlas des guerres hellènes et c'est pareil.

Stéphane a dit…

Bah, même l'un des meilleurs de la série (celui sur le XVIè siècle) n'échappe pas à ce phénomène de tirage de couverture vers l'autre côté de la manche. Par exemple, on apprend qu'il y avait des anglais dans l'armée du roi Sébastien du Portugal qui se fait étripée par les marocains en 1578. Sauf qu'il n'y en avait qu'un seul, qu'il n'était pas anglais mais irlandais, qu'il commandait non pas des anglais mais des italiens catholiques qu'il avait recruté pour poutrer les anglish en Irlande et que Sébastien avait "dévergondé" lors de son passage à Lisbonne. Mais dans le bouquin il est clairement dit que le troisième tertio Portugais était en fait anglais. Un bon raccourcit des famille non? :mrgreen:

STéphane

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